Le développer
peut être un bon moyen pour s’épanouir
et exprimer sa sensibilité.
Cet écrit s’adresse tout
autant aux professionnels du toucher, aux couples, aux
parents, à tous ceux qui désirent maîtriser
un langage avec lequel ils puissent s’exprimer
pleinement.
LES
CLEFS PRATIQUES DU TOUCHER :
la
profondeur:
la lenteur
la
globalité
l’accompagnement
la
pression
le
cœur
COMMUNIQUER
PAR LE TOUCHER ( chapitre en cours de création
)
les
lois de la communication
le
langage des sensations
les
clefs pour bien communiquer
LES EFFETS DU TOUCHER
EN THERAPIE |
|
LA
DIMENSION PSYCHOSOMATIQUE DU TOUCHER
|
L’approche psycho
corporelle accorde une attention à l’interaction
entre le physique et le psychique.
Le toucher permet de mettre en jeu le corporel et
le psychisme dans leurs interactions, ce qui semble
apporter des réponses intéressantes,
notamment dans le domaine des somatisations.
Le corps a un
vécu et dans ce vécu s’inscrit
l’empreinte psychique et émotionnelle
de l’être.
Ce vécu résulte de pensées, de
souvenirs, d’émotions parfois inconscientes
mais que notre corps exprime quand même.
L’approche psycho corporelle par le toucher
va laisser la place au corps pour s’exprimer
et permettre ainsi de laisser remonter à la
conscience des souvenirs ou des émotions enfouis
dans le corps, fournissant ainsi un matériel
qui va pouvoir être repris dans le verbal.
Le processus psychosomatique
signifie le report d’un problème psychique
sous une forme physique au niveau du corps.
C’est en quelque sorte un
mécanisme de défense de l’inconscient,
c’est-à-dire une solution trouvée
par l’inconscient pour soulager l’esprit
et détourner son attention. Le sujet, au lieu
de se centrer sur ses problèmes psychiques,
va tourner son attention vers ses maux physiques.
Créer un dialogue entre
ce que dit le corps et ce que dit l’esprit va
permettre des prises de conscience participant à
la disparition du processus psychosomatique et au
retour à l’équilibre.
La réponse au toucher
est un matériau que le receveur va pouvoir
utiliser, soit comme élément révélateur,
soit comme élément réparateur,
soit encore comme élément libérateur
ou enfin comme élément unificateur.
L’EFFET
REVELATEUR DU TOUCHER |
Mise en place d’une
dialectique :
Les touchers énergétiques
(Shiatsu, Reiki, etc....) s’appuient
sur une attitude globale du donneur.
Le donneur accompagne le mouvement
énergétique du receveur avec le mouvement
de son propre corps, le mouvement de la main n’étant
que le prolongement du mouvement du corps. Ceci a
pour effet de faire sentir au receveur sa globalité
quelque soit la zone touchée par le donneur.
Ce repère permet au receveur
de prendre conscience de ses ressentis (corporels
ou psychologiques) de morcellement et de séparation.
Ceci rend possible un espace intérieur
dialectique où différentes opinions
intérieures peuvent participer, s’exprimer,
être entendues et être réunies.
Ainsi, il peut s’établir en soi un consensus
commun où malgré les différences
d’opinions, chacun des personnages intérieurs
peut être pris en compte et donner son avis
plutôt que d’être rejeté
pour non conformité à une normalité
(Anzieu D., 1969, la dynamique des groupes restreints).
L’émergence
de l’inconscient :
Cette mise en place crée
les conditions favorables à une émergence
des éléments inconscients et à
une confrontation dialectique du conscient et de l’inconscient,
préalable au processus d’individuation
(Jung C.G., 1933, dialectique du moi et de l’inconscient).
Le toucher participe également à cette
émergence en faisant venir à la conscience
le refoulé du corps.
Le rôle du transfert
:
« Là où il
y a mouvement ou possibilité de mouvement,
là il y a amour. Si nous bougeons, c’est
que nous avons foi en nos déplacements vers
ceux qui nous entourent. Notre désir profond
est de rentrer en relation et l’essentiel de
cette communication, c’est l’amour. »
(Dolto F., 1983, la foi au risque de la psychanalyse)
La relation au thérapeute
dans la douceur, le respect, l’écoute
et la confiance, rendue possible par la réalité
vécue en séances de thérapie,
constitue le ressort des transferts du receveur envers
le thérapeute.
Le besoin de relation
:
Le toucher renvoie le receveur
à la façon dont il rentre en relation
avec l’autre dans une situation de proximité
et d’intimité.
La fonction de contact et de relation est
un des besoins fondamentaux de la nature humaine.
Le mot toucher vient du mot tact, « tactile
», contact.
Il est donc évident que
le toucher dans le cadre d’une séance
de thérapie met immédiatement en scène
notre vécu de la relation à l’autre.
Dans le cadre d’un couple, dans la relation
parent enfant, ou dans d’autres situations,
il en va de même.
Mais ce qui peut à certains moments être
très agréable dans la réception
d’un toucher et même vécu comme
une marque d’affection et d’acceptation
peut aussi produire des situations d’incompréhension.
Imaginons par exemple que X touche
Y avec toute la force de l’affection
ou de la protection qu’il souhaite lui témoigner
ou lui communiquer.
Y peut très bien, dans le
même instant, être renvoyé à
un vécu antérieur désagréable,
ou à des émotions qui sont sans rapport
avec la situation du moment.
Le ressenti du donneur
est fondamentalement différent de celui du
receveur et X doit accepter
que l’effet produit par son toucher ne soit
pas forcément celui qu’il escomptait.
dans ce cas, il lui est donné l’occasion
de se mettre à l’écoute de Y.
Car ce sont parfois des moments uniques pour le receveur
de se libérer de tensions du passé,
peut être même oubliées par la
conscience, mais que le corps, lui, n’a pas
oublié.
Le toucher renvoie donc le receveur
à la façon dont il rentre en relation
avec l’autre.
Il peut même renvoyer à
des périodes de la petite enfance où
le toucher et la façon dont on est touché
jouent un rôle dans la constitution de la personnalité
et la conscience de soi (Montagu A., 1971, la peau
et le toucher).
Grâce au toucher, on peut
renforcer le sentiment de confiance dans la relation
à l’autre et faciliter l’expression
de nos ressentis, et même de choses retenues,
contenues depuis longtemps, que l’on n’a
pas pu exprimer.
Une réparation s’opère
alors dans cette légitimité à
exprimer librement ses ressentis, sans être
jugé de cela, pour les accepter et se les réapproprier.
L’affirmation d’un
mouvement de mise en relation qui puisse se faire
dans la bienveillance et au bénéfice
des deux interlocuteurs peut restaurer des vécus
relationnels douloureux et permettre de se réapproprier
de nouvelles possibilités, à l’effet
réparateur.
L’EFFET
REPARATEUR DU TOUCHER |
Le besoin d’être
touché :
Il est possible de parler de «
dette en toucher » datant de la petite enfance
où l’enfant peut ne pas avoir été
suffisamment touché, cajolé, pris dans
les bras ou touché de façon adéquate.
C’est aussi la qualité du toucher qui
rentre en jeu.
Toucher son enfant pour l’habiller ou pour l’essuyer
n’a pas forcément le même caractère
que toucher son enfant en portant une grande attention
à lui dans un geste d’amour ou dans une
caresse apaisante.
Or, les touchers paternel et maternel de la petite
enfance jouent un rôle fondamental dans la constitution
de la personnalité.
Cette carence en toucher peut
apparaître plus tardivement par manque de contact
chez une personne en situation d’isolement.
L’isolement tactile peut
se produire dans un couple lorsque le toucher est
mis à l’écart de la vie du couple
par pudeur ou par réserve liées à
l’éducation reçue, ou lorsque
le toucher est uniquement attribué au cadre
de l’acte sexuel.
Cette absence de toucher produit une absence de communication
non verbale dans la relation à l’autre.
Il est des touchers vécus
comme un préjudice par le corps lorsque le
toucher est associé à une douleur, à
une souffrance morale ou physique ou à un acte
traumatique.
Dans le service d’hospitalisation du centre
médical Edouard Rist à Paris où
je travaille en tant qu’infirmier, les patients
viennent en suivi pour leur insuffisance rénale
chronique. Certains ont été opérés
jusqu’à 15 fois sur le même bras.
Etre touché au bras peut leur induire une appréhension
ou un malaise même lorsque le toucher est amical.
Quand le corps a servi de réceptacle
à un traumatisme (qu’il soit physique
ou moral), la personne peut parfois considérer
son corps ou une partie de son corps associée
à ce traumatisme comme étranger, séparé
de lui, afin de se soulager d’une souffrance.
Le résultat peut en être une perte d’intégrité
de la personnalité.
La réparation
:
Le toucher est réparateur
car il comble les carences en toucher, qu’elles
datent de la petite enfance ou de la vie adulte.
Il est réparateur des vécus
traumatiques du corps et des touchers agressifs ou
violents.
Il inscrit dans la réalité de la personne
un possible à être approché avec
douceur, de façon respectueuse et agréable,
un possible de se sentir entendu et compris.
Cette inscription se fait dans
le vécu sensoriel du corps, et se constitue
comme information sensitive.
L’action du toucher se situe au niveau d’une
conscience corporelle qui fournit des informations
à la conscience psychique pour se construire.
Image de soi et estime
de soi :
C’est ainsi une image de
soi qui est restaurée, qui est rendue légitime
et positive, et qui vient renforcer l’estime
de soi et la confiance en soi.
Le toucher énergétique
est réparateur de cette image de soi pour deux
raisons supplémentaires :
1)- Il souligne le schéma
corporel dans son intégralité.
2)- Il invite le receveur à
se situer dans sa globalité.
Il répare les situations où le receveur
s’appréhende dans une sensation de morcellement,
de séparation ou de contradiction.
Il restitue à la personne une intégrité
corporelle et par voie de conséquence une intégrité
psychique.
Se retrouver dans un ressenti
de globalité amène le receveur à
revenir en profondeur dans son corps, dans son espace
intérieur, ce qui lui fournit un point d’appui
pour prendre du recul par rapport à ses émotions,
plutôt que de les subir.
Cette notion de prise
de recul est le moteur fondamental de toute
thérapie.
Le toucher énergétique
insiste particulièrement sur la notion d’écoute
comme base de la communication verbale et non verbale.
Se sentir écouté, entendu, compris peut
être réparateur d’un préjudice
vécu, même datant de l’enfance.
Tous ces mécanismes
peuvent aider à restaurer une image positive
de soi, à soulager les vécus traumatiques
de son corps, à réparer une dignité
et une légitimité d’être,
à se considérer dans l’estime
de soi, et à combler de possibles carences
en toucher de la vie passée et présente.
L’EFFET
LIBERATEUR DU TOUCHER |
En thérapie à médiation
corporelle on peut observer dans le déroulement
des séances qu’une libération
se produit d’abord au niveau psychique avant
d’être suivie d’une libération
physique, concrétisée par une diminution
de la fréquence et de l’amplitude de
symptômes pathologiques lorsque ceux ci sont
d'origine psychosomatique.
Le gain en intégrité
:
Prendre la maîtrise de son
espace intérieur est un des
caractères qui marque l’évolution
d’une thérapie, quelque soit la technique
employée. Cette maîtrise signifie :
1) Parvenir davantage à
identifier ses émotions et à prendre
du recul par rapport à celles-ci, ce qui permet
de mieux les utiliser dans la communication, dans
la créativité et dans les prises de
décisions.
2) Différencier davantage
dans les relations ce qui m' appartient et ce qui
est de l’autre.
Cela permet de moins se sentir impliqué ou
concerné par le problème de l’autre
et donc d’offrir une meilleure écoute
qui améliore la qualité de ses relations.
Cette prise de recul par rapport
à ses émotions et par rapport aux autres
ne masque pas une indifférence.
Au contraire, elle témoigne d’une différenciation
et d’une reconnaissance à la différence
qui mènent à la tolérance, au
rapprochement et à la compréhension
de l’autre.
Un accord, une entente, à
la fois intérieure et avec l’environnement,
s’installe.
Ce n’est plus l’extérieur qui est
perçu comme source de troubles ou de conflits.
Ce sont les appuis d’un accord intérieur
et d’une cohérence qui deviennent générateurs
d’une relation plus harmonieuse à l’environnement.
Le gain en espace intérieur
:
L’affirmation d’une
plus grande présence en profondeur témoigne
également d’un gain en espace intérieur.
Partager la douceur, le réconfort,
la confiance avec le thérapeute.
Etre écouté, entendu, accompagné,
compris.
C’est une dignité
à se sentir aimé, à aimer, à
un possible d’aimer qui est restituée.
Rendre le verbe aimer possible
élève à sortir d’une image
négative qu’on a pu développer
consciemment ou inconsciemment à son propre
égard.
L'autonomie :
L’autonomie,
c’est de pouvoir fonctionner, de pouvoir se
construire avec ses propres références
et ne plus avoir à se soumettre, à se
rebeller ou tout simplement à être en
réaction à la référence
de l’autre et accroître ainsi tous les
bénéfices mutuels de la relation à
l’autre.
L’EFFET
UNIFICATEUR DU TOUCHER |
Le principe de globalité
du toucher énergétique est pour le donneur,
de laisser le mouvement de ses mains être conduit
par le mouvement global de son corps, lui-même
accompagnant le mouvement énergétique
global du corps du receveur.
Ce principe permet au receveur
de se percevoir dans sa globalité.
Ainsi toutes les parties du corps
se trouvent réunies et intégrées
dans un même ensemble.
Les différentes parties du psychisme se relient
et se réunissent, dans une plus grande cohérence.
Cette perception globale
de soi induit un sentiment d’unité.
Ce sentiment va servir de point d’appui pour
se construire.
Cela semble correspondre aux principes du processus
d’individuation Jungien
(Jung C.G., 1961, essai d’exploration de l’inconscient).
Ce processus consiste en une confrontation dialectique
du moi et de l’inconscient dans leurs dynamiques
respectives afin de créer un nouveau centre
de la personnalité, reliant et réunissant
les natures consciente et inconsciente.
Nous avons vu les bénéfices
que nous pouvons tirer de l’utilisation du toucher
en thérapie en analysant la dimension psychosomatique
du toucher.
Nous avons décrit les critères
d’évaluation d’une thérapie.
Ces critères sont le développement des
capacités à prendre du recul
et à se réapproprier son espace
intérieur.
Nous pouvons également
définir un ensemble d’outils à
mettre en place pour renforcer le processus d’autonomie
dans le cadre de la thérapie.
Ces outils sont :
1) Comment
rester centré sur soi dans la relation à
l’autre.
2) Comment relier et unifier le corps et l’esprit
dans un même ensemble.
3) Comment être présent dans son corps
en profondeur et en globalité.
4) Comment agrandir, aménager et gérer
son espace intérieur.
5) Comment développer une image positive de
soi, et fortifier l’estime de soi.
LES CLEFS PRATIQUES
DU TOUCHER |
|
Avant propos :
Je vous décrit quatre principes
pour accéder a la profondeur dans le toucher.
N.B. : ces principes sont également décrits
dans la page : les clefs de l’énergétique.
La lenteur :
A chaque fois il s’agit de ralentir, parfois
même dans une extrême lenteur pour trouver
la profondeur.
Si le geste est immobile, comme en Reiki par exemple,
il devient un point d’appui fixe à partir
duquel la circulation de l’énergie peut
se remettre en mouvement.
La globalité :
Le praticien en toucher qui utilise uniquement le
mouvement de ses mains n’accède pas à
la profondeur.
A l’inverse oui, si chaque mouvement des mains
est accompagné, ou encore mieux produit, par
celui du corps.
L’accompagnement :
Ce n’est pas le praticien qui va diriger le
mouvement, il va se laisser guider par le mouvement
de l’énergie, l’accompagner de
celui de sa main et de tout son corps, et l’inviter
à s’amplifier si nécessaire.
Le point d’appui fixe devient un accompagnement
neutre.
Le principe de la pression :
Le Shiatsu est très efficace pour cela car
il utilise la pression. Celle-ci va permettre d’accrocher
l’énergie dans la matière et de
la mobiliser. C’est une adhérence qui
va solliciter l’énergie dans la profondeur.
La première clef
d’accès à la profondeur est le
fait de ralentir :
Toute discipline ou méthode
de travail qui utilise la lenteur dans les mouvements
corporels permet d’agir avec davantage de profondeur
et de prendre conscience des sensations.
La deuxième clef
pour accéder a la profondeur est la globalité
:
C’est le fait de bouger
toutes les articulations du corps dans une même
simultanéité, un même mouvement.
Par exemple, quand le bras bouge, le mouvement dans
l’espace s’effectue en même temps
avec les chevilles et avec la colonne vertébrale.
Si cela est fait de manière coordonnée,
la sensation de profondeur vient.
N.B. : si vous êtes crispé
dans les jambes pendant que vous bougez les bras,
cette crispation va affecter l’ensemble et diminuer
la profondeur. Il est donc important d’être
détendu.
Plus vous arrivez à vous
mettre dans la globalité, et plus vous allez
obtenir de profondeur.
A cette globalité physique, on peut rajouter
la globalité psychique et émotionnelle.

mouvement
de la globalité physique

mouvement de la globalité psychique
et émotionnelle
La troisième
clef d’accès à la profondeur est
l’accompagnement :
En laissant aller votre geste
dans la détente et le relâchement sans
y mettre de volonté, sans forcer, vous allez
sentir davantage la profondeur.
L’accompagnement fait appel à la notion
de « laisser faire ».
Avec la volonté, la conscience contrôle
et choisit le mouvement, quitte à être
en désaccord avec le corps et à forcer.
Dans le laisser faire, c’est la sensation qui
dirige le mouvement et la conscience se laisse conduire.
Il s’agit en réalité de trouver
le juste équilibre entre maîtrise et
spontanéité pour se laisser aller dans
le geste afin qu’il devienne fluide.
La
quatrième clef d’accès à
la profondeur est le principe de la pression :
Le Shiatsu est très efficace
pour cela car il utilise la pression. Celle-ci va
permettre d’accrocher l’énergie
dans la matière et de la mobiliser. C’est
une adhérence qui va solliciter l’énergie
dans la profondeur.
Encore
faut-il trouver la pression juste !
Juste pour le praticien, car en
utilisant la force, les muscles se crispent et on
perd de la profondeur.
La pression juste s’obtient à partir
de la globalité du corps. La main, le bras
et tout le corps sont détendus et c’est
le poids du corps qui va exercer une pression sur
la main, par un effet de bascule.

effet de
pression par bascule du corps en avant
Pression juste pour le receveur.
En effet, s’il se trouve dans un état
à caractère hystérique ou dispersé
par les émotions, une pression forte va le
soulager et peut même, par le retour à
la profondeur, lui permettre de prendre du recul par
rapport à ses émotions. Alors que, s’il
est dans un vécu intérieur où
il s’est senti blessé ou envahi dans
son espace (par exemple, une agression physique ou
verbale), une pression forte d’emblée
peut être vécu par lui comme une intrusion
malvenue. Le retour vers la profondeur devra se faire
alors de façon progressive, avec délicatesse.
N.B.: Il existe des techniques
comme le Reiki ou certains types de méditation
qui s’attachent à développer cette
dimension du toucher.
//////LA
SUITE EST EN COURS DE CREATION //////